Publié 4 février 2019 dans la rubrique On peut en causer
Renée Ballard est la nouvelle star des livres de Connelly. Elle travaille dans un service de police à L.A. qui traite des affaires durant la nuit mais doit passer la main à l’équipe de jour, chargée de résoudre les dites affaires. Elle fait face à trois d’entre elles qui apparaissent dans un délai restreint. D’abord, une arnaque à la carte de crédit. Ensuite, un transexuel (une femme, donc) (…)
Publié 24 janvier 2019 dans la rubrique Salons, signatures
Je serai le mardi 29 janvier à Duisburg pour rencontrer des lecteurs et lire un extrait des Biffins ou de Sur la route avec Jackson si je suis en forme. Le lendemain, je remets ça mais à Essen. Dans les deux cas, je suis invité par les offices culturels franco-allemand des deux villes concernées. J’ai prévu d’acquérir une couverture chauffante.
Publié 24 janvier 2019 dans la rubrique Nouveautés
Après la guerre de Corée, Tucker, 18 ans, essaie de rejoindre son Kentucky. Il croise sur sa route une gamine, Rhonda, plutôt farouche mais ils tombent amoureux et décident qu’ils se marieront. On retrouve notre couple dix ans plus tard avec des enfants en bas âge, affectés de difformités pour certains d’entre eux. Mais les jeunes parents n’imaginent pas que les services sociaux de la ville (…)
Publié 24 janvier 2019 dans la rubrique Nouveautés
HERVÉ DELOUCHE ET LES ÉDITIONS ASPHALTE PRÉSENTENT
BANLIEUES PARISIENNES
NOIR
UNE IMMERSION DANS LE GRAND PARIS PAR SES AUTEURS
EN 13 TEXTES INÉDITS
Avec des textes de Guillaume Balsamo, Timothée Demeillers, Marc Fernandez, Karim Madani, Cloé Mehdi, Patrick Pécherot, Christian Roux, Jean-Pierre Rumeau, Anne-Sylvie Salzman, Insa Sané, Rachid Santaki, Anne Secret et Marc Villard (…)
Publié 1er janvier 2019 dans la rubrique On peut en causer
Il s’agit d’une mini-saison de quatre films de 90 minutes qui adapte quatre romans de Leonardo Padura, initiateur de la série avec Lucia Lopez Coll. La production est pour partie cubaine, ce qui pourrait poser problème mais on ne sent pas trop la patte du ministère de la comm’ cubaine.
Le lieutenant de police Mario Conde, créé par Padura, avance dans la ville en électron libre. Souvent bourré (…)
Publié 28 décembre 2018 dans la rubrique On peut en causer
Tu te souviens de la photo, Claude ? C’était à Frontignan et l’eau du canal bruissait à l’arrière. Nous étions attablés avec le vieil ours et il nous montrait du doigt la longueur de sa bite. Et moi je faisais oh, oh, tu nous prends pour des amerloques, Crumley. Toi, tu étais avec nous, bien serré, et tu rigolais, entre tes chers auteurs US et quelques frankaouis que tu avais à la bonne. Tu (…)
Publié 16 décembre 2018 dans la rubrique On peut en causer
L’exposition Doisneau et la musique dure jusqu’au 4 avril à la Philarmonie. On connait le photographe pour son travail sur la France des gens modestes et le Paris des aminches et des tatoués. On connait moins son appétence pour la musique et les musiciens. Entre les photos de commande pour les journaux et sa volonté propre de figer le monde en marche, la photo musicale chez Robert Doisneau (…)
Publié 26 novembre 2018 dans la rubrique Famille
Inframonde en pamoison sur Sunset, affamés du bitume à Skid Row, pisseuses pré-nubiles quêtant du sens à sensations, agenda de l’errance In A Silent Way, dans la dèche sur Rodeo Drive et plein aux as sur l’avenue T-4, direct au goulot chérie, la rue immonde, le désir en fuite, la lèche des orteils et le cœur s’anamorphosent, le kaléidoscope de l’aube à Falloujah, de bar en bar sur la route de (…)
Publié 26 novembre 2018 dans la rubrique Famille
Cadillacs embourbées dans les marais, mer lasse, pins décharnés, saxos tristes sous les lampadaires, divas en extase près des moucharabiehs, renards des sables complètement stoned, égérie en béret rouge sur le chemin des douaniers, tueurs russkofs enfouraillés à Brooklyn, motels de détresse, Los Machucambos au Flamingo, chiens noirs sur des rivages souillés, Ocean Beach sous perfusion, divas (…)
Publié 26 novembre 2018 dans la rubrique On peut en causer
Ce roman couvre les années 1992/93/94 qui ont vu le GIA prendre la suite du Front Islamique du Salut en Algérie. Benlazar, officier à la DGSE est une sorte de confrère "invité" par les militaires algériens qui le considèrent comme inoffensif. C’est une erreur car Benlazar, drivé par le commandant Bellevue, a une idée très peu correcte, politiquement, concernant les agissements des militaires (…)