Une certaine vérité par David Corbett / Sonatine.

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J’ai stoppé ma lecture à la page 150 du livre de Corbett. On nous dit sur la couverture qu’il s’agit d’un thriller. C’est raté car s’il est un livre qui ne fait pas peur, c’est bien celui-là. D’autre part, il a reçu un prix du Washington Post et, sans vouloir polémiquer, les précédents prix du fameux journal ne sont pas des chef-d’oeuvres. Corbett n’est pas un écrivain mais un garçon qui connaît bien le Salvador, les coups tordus de la CIA et la faune interlope qui navigue en Amérique Centrale et en Amérique du sud. Grosse documentation, donc. Un écrivain parviendrait à distiller sa doc avec intelligence et en évitant surtout les pensums de Corbett sur les sujets les plus divers, périphériques à son histoire. Mais ça n’est pas le cas ici. On a l’impression de participer à un atelier protégé pour attardés mentaux. Ce livre très mal foutu a été soutenu, évidemment, par Pelecanos et Connelly. J’ai noté leurs adjectifs pour vous faire rire : fort, bouleversant, éloquent, nécessaire, indispensable, romantique, brutal, captivant, important. Ils ont oublié dispensable.

On peut en causer

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