Piranhas de Claudio Giovannesi.

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Nicola et ses copains napolitains sillonnent les rues de la cité, essayant de se faire une place au sein des différentes familles camoristes. Ce qui est en jeu : l’argent et le pouvoir. Pour y arriver, il faut se battre pour tenir les coins de deals et posséder des armes pour se faire respecter.
Tout ceci était à l’œuvre dans le livre du même titre de Roberto Saviano. Mais Saviano nous en donnait beaucoup plus. Notamment au plan social et dans la complexité relationnelle des enfants avec leurs familles. Je n’ai pas oublié, aussi, que les gosses s’entrainaient à tirer la nuit sur des migrants. Ce livre réduit à l’état d’un film ne propose qu’un sujet moyennement traité, pas une véritable histoire. D’autre part, il souffre de la concurrence de séries telles Gomorra ou la formidable Suburra, filmée avec des moyens énormes, sur un scénario finement élaboré. Ces différences sautent aux yeux à la projection de Piranhas. Présenté à Beaune.

On peut en causer

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Remember le Gallois (1929-2023)

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40 ans dans le noir.

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Maître de cérémonie.

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Bye Bye Diego.

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Rock Hardi.

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Marion Brunet / Vanda / Albin-Michel.

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Moi chez SKA.

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Barbès trilogie chroniqué à Le polar sonne toujours 2 fois

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Le soleil sur ma tête par Geovani Martins / Gallimard.

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Nuit sombre et sacrée par Michael Connelly / Calmann-Lévy.

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Jimmy.

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La fièvre de Sandor Jaszberényi / Mirobole.

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Martin et Malet.