Tous aux abris 30.
PubliéHier j’ai tenté une fuite vers la Provence. L’air était frais, une brise légère faisait valser les rideaux des restos fermés. Arrivé gare de Lyon, j’ai réfléchi. Pourrai-je obtenir le prix du Meilleur Ecrivain de la rue Montorgueil si j’abandonne les lieux pour pleurer près des oliviers ? Finalement, je reste.