Tous aux abris 17.
PubliéMes connaissances me saluent dans la rue en me brandissant leur poing sous le nez, que je tamponne machinalement, comme font les jeunes . Hier, l’esprit ailleurs, j’ai répliqué et balancé un swing dans la tête d’un correcteur hagard. La prochaine fois, j’essaie de me faire un critique du Monde.