Shutter Island par Martin Scorsese.

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shutter island

Je ne vais pas vous raconter l’intrigue encore une fois. Après le livre et la BD, le film. Ce qui clochait dans le livre, c’était la fin. On connaissait l’astuce et certains américains l’ont utilisée en leur temps. Cette fin manquait également de clarté. Petit problême d’écriture, donc. On se retrouve ici avec le film qui, pendant un temps infini, nous ennuie. Tout le développement qui était bien écrit dans le livre est pesant à l’image, laborieux, avec des redites et une succession de rêves, cauchemars, visions, traités sur un mode onirique (les cendres, les flammes, les rats etc...). Parfois, la femme du héros traverse un mur et vient discuter avec lui. Bref, on est dans le cauchemar des films pour adolescents.

Mais, à l’inverse du roman, le dernier quart d’heure, plus enlevé, plus limpide, sans réminiscences de merde, passe bien. Néanmoins, Scorsese n’est pas au mieux. Après Les Infiltrés, mauvaise adaptation d’un excellent film de Hong Kong, on ne sait trop quoi dire. Ce serait l’oeuvre du premier venu, on trouverait ça passable mais c’est Scorsese, quand même.

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