Publié 15 janvier 2008 dans la rubrique Salons, signatures
Personne n’a oublié Jean-Claude Claeys, bien sûr. Son dessin "photographique", son trait noir, ses ambiances dépressives et la force de ses images. J’ai découvert les illustrations de Claeys au début des années 80, quand il habillait chaque couverture de la collection Le Miroir Obscur, animée par Pierre Jean et Hélène Oswald. C’est ici que nous avons découvert Sax Romer, Sylvia d’Howard Fast, (…)
Publié 11 janvier 2008 dans la rubrique Salons, signatures
Le 22 janvier à partir de 19 heures, Jean Philippe Peyraud et moi nous signons notre BD, Quand j’étais star, à la librairie La Hune, 170 Boulevard Saint Germain 75006 Paris. Et, tout seul, je dédicacerai mon recueil de nouvelles Le coup du sombrero, consacré à mes souvenirs lamentables de footballeur zonard. Au même endroit, of course. Nous en profiterons pour papoter avec ceux qui viendront. (…)
Publié 11 janvier 2008 dans la rubrique On peut en causer
Nous sommes à Paris, autour de Noêl. Léo, marié, un enfant, est un courtier qui vend et revend des actions. Seule sa fille compte pour lui. Un jeune homme se présente à son cabinet et, de suite, Léo comprend que cet homme est là pour le tuer. Parano, notre courtier finit par discuter avec ce tueur en puissance et propose qu’il le laisse vivre jusqu’au samedi qui suit. Il veut gagner un gros (…)
Publié 7 janvier 2008 dans la rubrique On peut en causer
Juste quelques mots sur le roman de Modiano que je lis avec retard.
Un homme croise dans un café, le Condé, une jeune femme qui le captive. Il va partir à sa recherche.
Modiano propose un récit à plusieurs voix pour dire cette lente errance dans Paris. Pigalle, la nuit, les néons, une jeune fille bien seule à la maison. Puis les déménagements et un mariage improbable avec un homme qui ne (…)
Publié 7 janvier 2008 dans la rubrique On peut en causer
Etienne Schréder, après avoir fait paraître des BD chez Glénat, s’est décidé à écrire et publier son grand livre autobiographique. Autrement dit le rapport qu’il entretint durant de longues années avec l’alcool.
Le livre commence en Belgique où le narrateur travaillait dans l’institution juridique. Peu à peu, son penchant pour l’alcool encourage son entourage professionnel à lui coller sur le (…)
Publié 26 décembre 2007 dans la rubrique On peut en causer
Loustal, que l’on a l’habitude de retrouver un pinceau à la main ou maniant des fusains, propose ici une suite de photos dans la collection Les Petits Carnets. On retrouve donc des clichés pris dans des chambres d’hôtels à Miami, des voitures en stationnement en Floride, une Buick ronronnant dans une rue de Soho, un chien merveilleusement cadré sur une plage en Algavre, des parkings à New (…)
Publié 26 décembre 2007 dans la rubrique On peut en causer
Une petite fille, Amanda, est enlevée dans un quartier populaire. Il apparait rapidement que la mère, Hélène, est camé et fait la mule pour un dealer du coin. Les flics de Boston acceptent, en trainant les pieds, qu’un couple de privés, engagés par la tante, les accompagnent dans leurs recherches de la gamine. Un deuxième gosse est enlevé à son tour. Mais la vérité concernant Amanda n’est pas (…)
Publié 23 décembre 2007 dans la rubrique On peut en causer
Alec Milius, ex-agent recruté par le M16 britannique, se planque à Madrid. Lors d’une opération précédente, il a roulé les américains dans la farine. Finalement, le M16 a lâché Alec qui, depuis, se la joue agent secret en danger de mort. Un beau jour, son patron madrilène lui propose de rencontrer un vieux copain basque qui est en fait un théoricien de Batasuna, aile politique de l’ETA. Puis (…)
Publié 9 décembre 2007 dans la rubrique On peut en causer
Joseph Perez ( Richard Anconina ) anime, et entraine, un groupe de jeunes à la boxe française. Nous sommes à Vitry. L’entraineur croie fermement aux chances de sa fille, Angie, et à celles de sa nièce, Sandra. Lors d’une soirée, Sandra gagne son match et devient championne de France. Angie, elle, curieusement amorphe sur le ring, se prend une raclée. C’est à cet instant que les ennuis de (…)
Publié 8 décembre 2007 dans la rubrique On peut en causer
Une femme trouve le corps d’un homme dans un lac asséché pas très loin de Reykjavik. Erlendur fait le tour des disparus à l’époque où l’homme a été jeté dans le lac, probablement assassiné. Ils sont quelques uns à n’avoir jamais réapparu. Des femmes les attendent parfois, bref, la vie continue mais la parenthèse n’est pas fermée. Au moment de ces disparitions, de jeunes islandais communistes (…)