Publié 21 février 2009 dans la rubrique Travaux en cours
Jean Bernard Pouy et moi avons terminé Zig Zag et il est en lecture chez Rivages. J’ai terminé également une novela consacrée au jazz pour Moisson Rouge (Jazz me blues). Actuellement, je démarre une autre novela qui viendra clôre un recueil personnel comprenant six textes. Je réfléchis à un texte de 60 pages sur le concert des Rolling Stones à Altamont. C’est une demande des éditions Biro. Et, (…)
Publié 18 février 2009 dans la rubrique On peut en causer
Nous ne sommes pas à Stockholm mais à Malmö, dans le sud de la Suède. Viktor Palmgren, industriel nanti, est abattu dans la salle à manger du Savoy par un inconnu qui a prit la fuite en sautant par la fenêtre. Mansson, le flic le plus débrouillard du secteur, commence à enquèter mais la personnalité du mort commande aux sommités policières d’envoyer Martin Beck résoudre ce meurtre étrange. (…)
Publié 15 février 2009 dans la rubrique On peut en causer
Jean-Pierre Deloux, né en 1944, est mort le mois dernier des conséquences d’une insuffisance respiratoire. Jeune homme, il avait arpenté, avec son ami François Guérif, les Grands Boulevards en quète d’un film inconnu, d’un western planqué, d’un thriller inédit.
Toute sa vie aura été marquée par cette double attraction cinéma-littérature. Il se fit connaître comme attaché de presse de (…)
Publié 15 février 2009 dans la rubrique Salons, signatures
La ville de Bon- Encontre (47) organise les 7 et 8 mars un salon autour du roman noir. C’est Didier Daeninckx qui parraine l’affaire.
On pourra rencontrer durant ces deux jours les auteurs Christian Grenier, Hervé Le Corre, Marin Ledun, Michel Leydier, Claude Mesplède, Patricia Parry, Gianni Pirozzi, Louis Sanders, Benoît Séverac, Marc Villard.
Le moment le plus intéressant, à priori, est (…)
Publié 9 février 2009 dans la rubrique On peut en causer
Plusieurs femmes policières se racontent et racontent le quotidien des flics de terrain à Baton Rouge, dans la région de la Nouvelle Orléans. Il ne s’agit pas ici d’inspectrices mais de policières en tenue qui arrivent les premières sur le lieu d’un crime, d’un accident, d’une émeute. Ce qui différencie ces récits de ceux de narrateurs masculins, c’est la façon dont la violence quotidienne (…)
Publié 27 janvier 2009 dans la rubrique On peut en causer
Cette brêve histoire très personnelle, donc intime, n’entend pas se positionner contre les dictionnaires. Il s’agit plutôt d’un geste d’humeur d’un lecteur de polars face, justement, aux dictionnaires qui ne proposent jamais de hiérarchie entre les auteurs. Entre les livres non plus, d’ailleurs.
Pouy a donc créé six groupes d’écrivains : les aiguilleurs, les forcenés, les pessimistes, les (…)
Publié 27 janvier 2009 dans la rubrique On peut en causer
Ray, une femme avec deux enfants, vit dans un mobile home déglingué dans une bourgade à deux pas de la frontiète US-Canada. Son mari est parti jouer l’argent destiné à acheter une nouvelle maison mobile et son job de vendeuse ne tient plus qu’à un fil. Sa situation est donc inquiétante. Une indienne, Lila, lui fauche sa voiture et, l’ayant récupérée, Ray s’intéresse à la femme. Celle-ci lui (…)
Publié 6 janvier 2009 dans la rubrique Interviews
Jean Claude speak à lui-même dans son brain (pcc MV). - La France, la France. Tu vois, je parle plus à mes muscles, je parle au cosmos. C’est du meilleur, le cosmos, quand il me regarde moi. Et Dieu. Là, il est aware. Le cosmos, c’est la very great dream, c’est pas la France. En Belgique, tu enlèves le ciel, l’air du ciel, il tombe de la bière, je suis aware de ça. En France, tu fais pareil, il tombe des grenouilles. Cent grenouilles, ça te (…)
Publié 5 janvier 2009 dans la rubrique Famille
Le Parc Pommery
A la fin des années cinquante mon père changea de job et de ville. Nous laissâmes donc Versailles pour Reims, juste après la coupe du monde de 58. A peine débarqué dans la capitale du Champagne, je m’inscrivis à l’école de foot du Stade de Reims qui comptait à l’époque 600 élèves.
Les entraînements avaient lieu chaque jeudi après- midi au Parc Pommery qui recèle de (…)
Publié 5 janvier 2009 dans la rubrique Famille
Parfois je terminais mes journées, carton à dessin en mains, à La joie de Lire, chez Maspéro. J’y retrouvais des amis qui, comme moi, venaient acquérir du Marcuse, du Baudrillard, Le journal de Bolivie du Che. Puis nous passions à la pizza Pino voisine pour avaler une Quatre Saisons. Et l’un de nous posait invariablement la question culte :
– On va voir une toile ?
– D’accord, un film (…)